Volupté, fumée, chaque soir je marche.
Je suis des pistes à l’aveuglette, celles qui s’amenuisent avec les premières somnolences,
Lorsque les premiers rayons jettenteront un voile sur ces liens tissaient au fil de rencontres hasardeuses qui ne se dévoilent que sous un manteau étoilé.
Seule, accompagnée, je cède face à la désinvolture de ses instants.
Je cherche la lumière dans l’obscurité, la proximité dans cette échappée.
En attendant demain, ombres, visages et silhouettes me chuchotent leurs aspirations.
Les inhibitions s’endorment bercées par l’adrénaline, par l’incertitude du lendemain.
A la recherche d’éclairs de vie, chargées d ‘éclats de sagesse.